mercredi, 13 juin 2007
Où est ma petite pixie ? (2)
Je suis inquiète, il y a un drapeau belge sur l'aéroport de la petite pixie, et elle n'est plus là....
Zut alors, justement qu'elle m'avait téléphoné qu'elle avait fait un poème sur la St Barnabé.
Mais Eliot m'a chuchoté dans l'oreille. Chut ! La petite pixie et moi, nous avons un rendez-vous secret à Lille, à moins qu'elle soit parti acheter un imperméable, quoique qu'avec ce que St Barnabé a dit, il n'y a pas trop de danger qu'il pleuve !
"Vite, viens ma petite pixie, et va ensuite vite rassurer ta maman !" a ajouté Eliot.
J'ai dit à Eliot, "Tu pourras te consoler avec sa soeur!"
"Avec sa soeur?" a dit Eliot, "Ce n'est pas pareil!"
Mais, il parait qu'il y a une grève en Belgique. La petite pixie ferait grève ? Et elle a laissé le piquet de grève sur mon i-grimoire ! ça alors !
domino
14:55 Publié dans La Petite Pixie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : petite pixie, Eliot, météo
samedi, 09 juin 2007
Les météorologues....
La nuit je rêve souvent que je voyage, ou bien j'habite dans des maisons qui ne sont pas la mienne et sont le fruit de l'imagination de mon sommeil paradoxal. Souvent je prends des trains, des autocars ou bien je conduis ma voiture, la plupart du temps dans des paysages de collines, c'est ainsi que fréquemment des trains aux multiples aiguillages partent vers la RDA, les collines de Thuringe au pied de la Forêt du même nom se retrouvent à la place de l'agglomération lilloise et c'est par la voie des champs que j'arrive dans la maison de ma mère, complètement transformée, j'étais plongée ainsi dans un doux rêve ensoleillé avec le ciel bleu où je randonnais sur une côte bretonne plantée au bord du Pas de Calais, quand soudain un grondement se fit entendre dans le ciel bleu, mon oreille gauche, celle qui est du coté de la fenêtre se mit à battre comme une peau de tambour, je me réveillais en sursaut, croyant être malade et pendant un instant mon coeur battait la chamade. Je réveillais mon mari et lui demandais d'allumer la lumière, celui-ci le fit en grommelant, et je me rendis compte que non, mon coeur ne battait pas si fort, j'avais fait un cauchemar au milieu d'un beau rêve et
alors je descendis
et j'entendis
le tonnerre
Et je connus
La raison de mon brusque réveil
Et de mes battements d'oreille,
Et c'est alors qu'au téléphone
La petite pixie m'a dit
(il était preque 5 heures du matin,
et les oiseaux commençaient à chanter),
et c'est alors
qu'au petit matin
Sous l'orage
qui faisait rage,
La petite pixie
M'a dit :
"Aujourd'hui
Sous la pluis
Mon Eliot
Prend note,
de la flotte
De l'orage
Qui fait rage
Du tonnerre
Des éclairs,
Météorologue,
Il en tient
Le catalogue
"Tiens,"
pense-t-il
sous la pluie
de Lille,
"Ma pixie
Sans moi
Se blottit
Dans son abri
A Charleroi,
Elle collectionne
Et ordonne
Les données
Du baromêtre
Et du thermomètre
Et admirable,
Elle met
Son imperméable
Et lit
Ce que lui dit
le pluviomètre
A cette heure
Ma petite pixie
A peur
Et pleure
Mais sous la pluie
ça ne se voit
pas.
Courageuse
Elle relêve
Sans trêve
Sous les éclairs
Et le tonnerre
Et la pluie
Ténébreuse
Les pressions
Atmosphériques
Et les variations
Météorologiques,
Pour que les avions
Atterrissent
Sans risques."
Loin de toi,
mon Eliot,
Sous la flotte
Je pense à toi
J'imagine
Qu'il pleuvine
Doucement
Sans les tourments
Des éléments
Et que tu prends
Doucement
Ma main
Dans l'écrin
De tes doigts fins".
domino, puis domino pour la petite pixie, puis domino pour la petite pixie et la petite pixie pour Eliot, puis domino pour la petite pixie.... (dans poèmes de la petite pixie n° 21 et poèmes d'Eliot n° 5)
11:25 Publié dans Poèmes de la petite pixie n°s 19 à 26 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : petite pixie, Eliot, rêves, orage, météo, poésie, poésies
vendredi, 25 mai 2007
Lettre ouverte de la Petite Pixie
Maman domino, la journaliste alternative,
Non, maman ce n'est pas moi, mon usurpatrice, je suis la vraie petite pixie, et je t'aime, tu n'es pas folle, je le sais bien, car je te connais, et je te regarde tous les jours par ma fenêtre dans ton écran d'ordinateur.
L'usurpateur est méchant, il ne nous aime ni l'une, ni l'autre, et je le dis ici, c'est la vraie petite pixie qui écrit cette note et je t'aime.
Tu fais bien d'enlever les commentaires de l'usurpateur qui dit des bêtises sur moi... en se faisant passer pour moi.
La petite pixie (aidée par domino)
11:30 Publié dans A propos de la petite pixie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : petite pixie, commentaires
dimanche, 13 mai 2007
Quand l'orage fait rage...
La petite pixie m'a dit :
Quand l'orage
A fait rage
chez Eliot
Moi grande sotte
J'ai eu peur
qu'il ne meure
A cause des grands éclairs
Tout clairs
Qui tombaient de haut
Sur sa station météo
Quand l'orage
En rage
Enrage
J'ai peur pour Eliot
mon pote.
domino pour la petite pixie dans poèmes de la petite pixie n° 19 à 26 (poème n°20)
19:30 Publié dans Poèmes de la petite pixie n°s 19 à 26 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Eliot, petite pixie, orage, météo, poésie, poèmes
dimanche, 06 mai 2007
On a failli mourir !
Ma petite pixie m'a dit :
"L'i-grimoire de maman n'était plus là
Quand son i-grimoire n'est pas là,
Nous on n'existe plus
Pour faire le temps,
Si on n'existe plus
On dira : "Il a plu !"
"Il pleut tout le temps !
Que se passe-t-il ?
Pourquoi ce grésil ?"
"C'est parce que Eliot et les petites pixies
Ne sont plus de ce monde
Ni sur la mappemonde
Eux qui n'avaient pas leurs pareils,
Pour faire venir le soleil !"
C'est pourquoi l'i-grimoire de maman doit rester
Toujours pour qu'on l'entende chanter,
Et pour que nous les petits pixies
Nous chuchotons dans du Bon Dieu l'oreille
Qu'il doit nous amener le soleil !
Et avec nous l'i-grimoire
de maman
Qui met en mémoire
le temps,
Pourra donner du soleil aux gens.
Tant qu'Eliot et moi avec son i-grimoire nous ne tomberons,
Tant qu'Eliot et moi et ma soeur dans cet i-grimoire nous vivrons,
Car même si nous sommes virtuels,
Nous avons une vie réelle..."
domino pour la petite pixie (poème n°19).
12:45 Publié dans Poèmes de la petite pixie n°s 19 à 26 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : petite pixie, Elot, poèmes, poésie
dimanche, 15 avril 2007
Le printemps ou l'été ?
La petite pixie m'a dit :
"Vingt-sept degrés
C'est l'été!
Et j'ai mis ma jolie robe
Sous les branches d'adobe,
L'été ?
On n'est pas encore en mai...
Passer de l'hiver à l'été
Le printemps n'aura duré
Que deux ou trois semaines
Amènes.
Eliot a vu ma robe
De soirée
Et ne me trouve pas snob,
Il a dit : "Adorée",
Nous irons ensemble
Sous les trembles
Quand les vacances
Arriveront
En juillet
Nous promener
Dans les environs
A la cadence
Des avirons
Sur la rivière
légère."
Alors j'ai dit
à Eliot, "Oui
pour la vie".
Et Eliot a dit :
"Merci,
ma petite pixie".
domino, pour la petite pixie dans poèmes de la petite pixie n° 18
14:50 Publié dans La petie pixie, poèmes 13 à 18 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : poèmes, poésie, poème, petite pixie